Hello ! 👋

Moi, c’est Laity, enfin.. Laëtitia, exactement ! C’est ce prénom qu’ont choisi mes parents, le 20 septembre 1993 quand je suis née.

Et même si je ne l’ai pas toujours aimé, mon prénom, au final, je l’aime de tout mon coeur, parce qu’en vrai, des Laëtitia, de 1993, il n’y en a pas mille.

Je ressemble à ça :

mais ça c’est en photo ! Parce qu’en vrai, je suis un petit peu moins sage 😇

Tu dois attendre de moi que je te dise d’où je viens, pourquoi j’en suis là. Laisse-moi te raconter tout ça !

Revenons-en à mon enfance ; j’ai été élevée à Cayeux-sur-Mer avec mes deux parents et mon petit frère. J’y ai vécu durant 18 ans. Je suis allé au collège de la baie de Somme à Saint-Valery-sur-Somme. Puis je suis allé au lycée Boucher de Perthes à Abbeville.

Très tôt, j’ai adoré les arts. Que ce soit les arts plastiques, l’histoire de l’art, les arts du spectacle ou autre, j’ai toujours adoré ça !

Je me souviens que je rêvais de visiter le musée du Louvre avant mes 10 ans ! C’était vraiment mon goal-life ! (Spoiler : j’y suis allée, adulte, et ce n’est clairement pas mon préféré !).

Je ne viens pas d’une famille où on est hyper sensible aux arts. Mon papa dessine très bien mais très peu, ma Maman adore voir les autres faire mais se considère pas assez douée pour faire et mon frère n’a jamais montré de sensibilité aiguë pour les arts non plus.

Mon amour pour la baie de Somme a pu renaître de ses cendres dès mon arrivée à Amiens pour mes études. Je n’aimais plus y vivre, adolescente ! En même temps, l’hiver (de novembre à mars en gros là-bas), c’est vide ! Et donc, pas super foufou pour les jeunes…

J’ai donc adoré en tant qu’enfant, détesté pendant mon adolescence et adulé durant ma vie d’adulte ce lieu magique qu’est la Baie de Somme. Et puis, il paraît que c’est quand on n’a plus les choses qu’on peut se rendre compte de l’importance qu’elles ont pour nous.

En 2011, je quitte donc la Baie de Somme et vais vivre à Amiens pour mes études. Je tombe amoureuse de mon conjoint actuel à ce moment et nous ne nous quittons plus. C’est aussi pour cette raison que je n’ai toujours pas quitté la région amiénoise (sauf quelques mois pour Valenciennes pour le travail de ma moitié justement).

J’ai donc réalisé mes études en arts plastiques dans le but premier de devenir professeure d’arts. J’échoue lamentablement et sans savoir comment faire mieux au concours des profs (Capes d’arts en second degré). Je laisse tomber et je tente le concours de prof des écoles (CRPE). J’obtiens le concours en candidate libre, et je suis nommée professeure stagiaire au fin fond de l’Aisne (✨).

Je fais une grosse dépression et perds 10kg en 2 mois en me nourrissant exclusivement de compotes et de coca (double ✨).

Je démissionne donc et me demande quoi faire dans ma vie ! (Bah ouais hein !)

Pendant mon année de concours de prof d’arts, j’ai été assez malmenée et ai fini par ne plus trouver de plaisir dans la création ; je ne me sentais pas du tout légitime, ni même à ma place.

J’ai donc repris des études en allant en formation pour adultes et valider un double diplôme : assistant RH et gestionnaire de paie (spoiler : je déteste le métier de gestionnaire de paie !).

Apres avoir validé mes deux titres, j’ai eu plusieurs expériences dans le milieu de la formation, des ressources humaines, de la compta et même de la paie (😅).

Et lors du confinement, j’ai repris la linogravure que j’avais abandonnée depuis mes années de fac d’art, notamment quand j’ai quitté l’ESPE d’Amiens. J’utilisais la technique qui permet de réaliser plusieurs estampes uniques pour faire des cadeaux de Noël à mes proches et amis (mon amoureux est issu de famille nombreuse). Et je voulais faire des cadeaux avec du sens, après avoir perdu le pouvoir de les voir quand on le souhaitait !

Les cadeaux ont été appréciés, valorisés et on m’a glissé à l’oreille que c’était incroyablement beau et que ça pourrait se vendre sans soucis.

Et, en 2022, quand mon conjoint s’est lancé à corps perdu dans son entreprise d’assurances, j’ai décidé que moi aussi, je me lancerai !

En février 2022, j’allais me coucher et me suis fait la réflexion que je n’aimais pas le coeur de laitue (ouais, je me fais souvent des bilans bizarres personnels dans ma propre tête). Mon correcteur de téléphone m’a toujours corrigé « Laity » par « laitue ». J’ai toujours dessiné des cœurs partout. Et je me suis dit que c’était incroyablement génial de m’appeler « Coeur de Laity ».

J’étais employée à l’Université d’Amiens quand j’ai lancé ma petite entreprise. J’ai attendu un peu plus d’un an et demi avant de pouvoir oser me lancer à 100% dans l’aventure de l’entrepreneuriat en septembre 2023. Et tu sais quoi ? Je ne regrette absolument pas ! 🥰

De nouvelles aventures sont en cours ! Si tu veux les suivre, pense à t’abonner à moi sur les réseaux sociaux (je suis une instagram-addict, alors fonce t’abonner à moi pour avoir toutes les informations en avant-première : @coeurdelaity).

Si tu es encore là, merci d’avoir tout lu, tu es un humain incroyable ! 🖤

Pour te remercier, voici un petit code de réduction pour te faire plaisir sur mes créations disponibles dans ma boutique en ligne : MERCIDETRELA 🖤

De tout mon coeur,

Laity 🖤